Consequence de la Mesure de Confinnement pour les Refugies dans le Camp de Lóvua

La situation semble se compliquer au camp des refugiés ce dimanche. Pas des transports en communs pouvant emmener les refugiés à dundo et cela suscite les inquietudes des cultuvateurs qui emmènent leurs produits champêtres à Dundo pour les vendre. Zizine , une dame rencontrée au Park de Lóvua nous dit: 

Langue Tshiluba: Tudi apa katshia ku makelela dilolo bindila mashinyi bua kuya ku dundo ne bintu bietu bia kupana,kadi kakuena mashinyi nansha amua malua bua kutuambula. Mashinyi onso adi apita tuimanyika ba benga. Nudi nuela menji ne tudi mua kuambula bintu ebi mu mutu ku makasa tooo ne ku dundu anyi?
Tudi ne dibungama dia bunyi bualu tudi benzejibue bua kupingana ne bintu ebi tumate,biteku,midibu, dungu ne bikuabu bua ku bimansha. Kadi mushindu kayi utuadia ne bana ku nzubu?

Traduction française: "Depuis hier soir , nous sommes ici en attente des moyens de transport  pour aller à dundo; mais jusque-là rien; tous les véhicules passagers à qui nous demandons,ils nous refusent. Pensez-vous que nous pouvons transporter ces articles, sur notre tête, à pied jusqu'à dundo?s'interroge t-elle . Nous sommes tellement déçues et inquietes parce que nous sommes obligés de rentrer avec ces tomates,legumes etc, pour les jetter. comment allons-nous vivre dans nos maisons avec les enfants pendant ce moment?


Face à cette situation nous pouvons constater la hausse, sur le marché , du prix de certains produits. Par exemple un litre d'essence vendu à 250 kwanzas reviens à 300 kwanzas

Auteur de cette contribution: Sylvain Miongolo

Commentaires

  1. Quelles sont les évolutions actuelles de la situation?

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  2. La situation semble s'ameliorer petit à petit parceque le gens peuvent se deplacer vers dundo,

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