Le manque de farine de maïs cause quelques problèmes
Alors que le monde entier est préocupé par la pandémie du COVID-19 ayant affectée tous les secteurs de la vie y compris le Programme Mondial Alimentaire (PAM) qui manque de farine de maïs pour les réfugiés. Cet aliment de base manque aux refugiés de Lóvua depuis le début de cette année, mais les récentes réunions tenues par PAM assuraient les réfugiés qu'ils allaient bénéficier de celle-ci au mois d'Avril.
Comme le malheur ne vient jamais seul, la farine n'est pas encore arrivée; cependant vision mondiale a déjà annoncé que la distribution de la ration alimentaire, faite avec HCR et PAM, sera reporté du 6 au 9 avril . Le communiqué de cette agence, publié le 2 Avril, confirmant l'arrivée tardive à Lóuva, de la farine, a mis de la poudre sur le feu. Voilà la vive tension qu'a connu le camp des refugiés.
Pour manifester leur mécontentement certains d'entre eux ont déchiré les affiches menaçant d'incendier les camions qui vont transporter ces vivres vers les centres de distribution, agresser les bénéficiaires et empêcher la dite distribution. Ces refugiés disent être déçus par PAM pendant ce moment difficile du confinement imposé par le gouvernement dans le cadre des mesures préventives de la lutte contre le COVID-19.
Comment pourront-ils vivre seulement avec les haricots,huile végétale et sel sans farine de maïs? Ainsi ils sollicitent l'implication du HCR afin qu'une solution paliative soit trouvée avant que le pire arrive. L'avenir nous en dira plus.
Auteur de cette contribution: Alphonsine Mayamba
Comme le malheur ne vient jamais seul, la farine n'est pas encore arrivée; cependant vision mondiale a déjà annoncé que la distribution de la ration alimentaire, faite avec HCR et PAM, sera reporté du 6 au 9 avril . Le communiqué de cette agence, publié le 2 Avril, confirmant l'arrivée tardive à Lóuva, de la farine, a mis de la poudre sur le feu. Voilà la vive tension qu'a connu le camp des refugiés.
Pour manifester leur mécontentement certains d'entre eux ont déchiré les affiches menaçant d'incendier les camions qui vont transporter ces vivres vers les centres de distribution, agresser les bénéficiaires et empêcher la dite distribution. Ces refugiés disent être déçus par PAM pendant ce moment difficile du confinement imposé par le gouvernement dans le cadre des mesures préventives de la lutte contre le COVID-19.
Comment pourront-ils vivre seulement avec les haricots,huile végétale et sel sans farine de maïs? Ainsi ils sollicitent l'implication du HCR afin qu'une solution paliative soit trouvée avant que le pire arrive. L'avenir nous en dira plus.
Auteur de cette contribution: Alphonsine Mayamba
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