La prise de conscience des réfugiés par rapport a la crise alimentaire

L'agriculture vient de prendre l'ampleur au camp de Lôvua, en dépit de la crise de la farine de maïs les réfugiés ont compris la nécessité et l'intérêt de cultiver dans leur milieu d'habitation ainsi que dans les terrains réservés pour cette activité par le HCR.

Malgré cette prise de conscience il y a encore plusieurs défis à relever notamment le manque des intrants agricoles (houes, machette, bottes, limes, beches, râteaux, arrosoirs, pulvérisateurs etc).



Madame Angelica suggère le renforcement des capacités en intrants agricoles avant de commencer le labour de l'espace de 50 ares lui confiés étant dans la phase de la préparation du terrain jusqu'au mois de juillet en attendant la saison de pluie, par manque de ces derniers elle risque de ne faire que 30/15 mètres et ça sera un handicap pour elle pour réaliser une bonne production.

Cette option a été adoptée par la majorité des réfugiés pour contourner le manque de la prise en charge totale  du PAM.

Auteur de cette contribution: Valéry Mputu

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